Le lundi 4 avril 2011,
Depuis plusieurs années maintenant, nous pouvons constater que notre direction entretien volontairement un climat de tension dans l’entreprise. Notre hiérarchie n’a comme seul objectif de dégrader nos conditions de travail en diminuant les effectifs, en s’attaquant à nos salaires, et en sanctionnant les salariés pour des motifs abusifs.
De plus en plus, nous voyons de nouveaux chefs diriger les services. Ce sont ces clowns qui se permettent de mettre en place plein de nouvelles procédures, de nouvelles méthodes de travail inadaptées et tous cela dans le seul but de diminuer les effectifs. Ce sont ces mini-chefs qui veulent se montrer auprès de notre direction en faisant des embrouilles débiles aux agents les plus gênants pour nos avares de patrons au lieu de se concentrer sur le bon fonctionnement des services et de notre sécurité au travail. Malgré toutes les remarques faites par les agents et délégués sur certaines difficultés, ces chefaillons font la sourde oreille, et le jour ou les galères arrivent, ils ne prennent plus aucunes responsabilités, et se cachent au fin fond de leur blouse blanche pour se faire tout petit, et trouver un agent pour être fautif à leur place.
Il est temps que nos responsables mouillent un peu plus leur belle blouse blanche sur le terrain et se montrent un peu plus professionnels.
Les seuls coupables de tous le désordre que nous vivons dans notre entreprise depuis bien longtemps, sont nos supérieurs hiérarchiques qui veulent révolutionner le catering avec plein d’idées plus farfelues les unes que les autres et qui provoque de gros disfonctionnement dans le bon déroulement de notre activité qui se déroulait très bien quelques années auparavant.
Nous sommes tous concernés par ces méthodes crapuleuses et cautionnées par nos patrons, que ce soit des rappels a l’ordre, des avertissements, des mises à pieds ou licenciements, et dont le seul but est de nous faire peur et que nous acceptions de travailler dans des conditions de travail inacceptables, et tous ca pour remplir sans cesse la tirelire de picsou et non la notre qui ne cesse de diminuer.